Bruno Bressolin - "Promesse non tenue"
Ca n'est pas que je fus déçu, bien au contraire.
Je terminais ma tournée de la rue Louise Weiss à l'Espace Carte Blanche (151, rue du chevalaret : oui, ça n'est pas la rue Louise Weiss, mais c'est dans le prolongement), où était exposé Bruno Bressolin.
Sur le mur de droite, des photographies en noir & blanc, de grands formats, qui ne semblent avoir rien de spécial, et qui ne laisse rien présager ni imaginer ce qui s'ensuivait. En face, une autre série de photographies grands formats, en couleur cette fois-ci. Elles représentent des pages de magazines pornographiques froissées et ne laissant voir que le visage, ou un article de petites annonces.
Je ne sais pas comment cette idée lui est venue, mais ce qui est frappant dans ces photographies de papier froissé, c'est que les visages autrefois à vocation d'excitation étaient transformés en expressions d'effroi et de détresse. Et ce titre : "Promesses non tenues", explique tout simplement mais non sans puissance toute la frustration de l'être humain qui le mène à ce créer des chimères pornographiques. Les petites annonces froissées ne sont pleinement compréhensibles qu'avec les photographies froissées, c'est le seul reproche que je puisse faire, sinon, la faiblesse et la banalité des photgraphies noir et blanc dont je parlais.
Je vous laisse avec cette preuve :
Je terminais ma tournée de la rue Louise Weiss à l'Espace Carte Blanche (151, rue du chevalaret : oui, ça n'est pas la rue Louise Weiss, mais c'est dans le prolongement), où était exposé Bruno Bressolin.
Sur le mur de droite, des photographies en noir & blanc, de grands formats, qui ne semblent avoir rien de spécial, et qui ne laisse rien présager ni imaginer ce qui s'ensuivait. En face, une autre série de photographies grands formats, en couleur cette fois-ci. Elles représentent des pages de magazines pornographiques froissées et ne laissant voir que le visage, ou un article de petites annonces.
Je ne sais pas comment cette idée lui est venue, mais ce qui est frappant dans ces photographies de papier froissé, c'est que les visages autrefois à vocation d'excitation étaient transformés en expressions d'effroi et de détresse. Et ce titre : "Promesses non tenues", explique tout simplement mais non sans puissance toute la frustration de l'être humain qui le mène à ce créer des chimères pornographiques. Les petites annonces froissées ne sont pleinement compréhensibles qu'avec les photographies froissées, c'est le seul reproche que je puisse faire, sinon, la faiblesse et la banalité des photgraphies noir et blanc dont je parlais.
Je vous laisse avec cette preuve :